samedi 29 décembre 2012

Connaissez vous vraiment les éoliennes

Il n'y a pas de questions pièges, nous vous mettons en ligne un questionnaire établi par Thierry Jacaud, rédacteur de la revue l'Ecologiste.
En 20 questions des réponses claires, qui devraient être connues de tous
Une fois sur le lien, cliquer sur "je commence le Quizz"


A partir de 15/20 vous avez le droit d'aller respirer un bon bol d'air sur les hauteurs de la Margeride, et de faire le plein d'énergie en embrassant ces magnifiques paysages

Gardons notre air pur en Lozère

Il parait que l'énergie éolienne, c'est magnifique, gratuit, que de l'air pur
Mais quand on gratte un peu l'information tout n'est pas si net ; nous vous avons déja parlé du scandale financier de l'éolien (fiscalité, subventions...) ; il s'y rajoute un scandale sur les trafics de rachat des certificats verts.

 

Notre Lozère est belle ; quand vous aurez lu le texte ci-dessous, vous comprendrez que les enjeux de la pression de l'éolien en Margeride, n'ont rien à voir avec la clarté de notre air pur en Lozère



Bonjour
Energies Renouvelables : Traffic des "certificats verts"
Un article de Ludovic Grangeon membre de la FED, vient de paraitre dans le journal Economie Matin
Les marchés internationaux des Energies Renouvelables  et notamment ceux l'éolien sont protégés.Ils mettent en jeux des centaines de milliards d'euros. Les acteurs collectent une multitude de subventions nationales et internationales.
Ils profitent officiellement  de l'argent public et de défiscalisations en cascade , contraires aux règles de l'économie de marché
L'enquête en cours en Allemagne concernant  un immense trafic de certificats verts des Energies Renouvelables  montre à quel point les valeurs fondamentales de l'écologie sont bafouées par ceux, qui en son nom, ont pris le contrôle des médias, surfent sur la crédulité publique et pratiquent la désinformation pour piller les citoyens.
 Après la délinquance en col blanc, la délinquance verte

http://www.economiematin.fr/les-experts/item/2867-ecologie-certificat-carbon
Par Ludovic Grangeon ,
mercredi 19 décembre 2012 06:59
En France, la Cour des Comptes a dénoncé en 2012 plus d'1.8 milliard d'euros de fraudes aux certificats carbone, avec 18 procédures judiciaires en cours. En France, la Cour des Comptes a dénoncé en 2012 plus d'1.8 milliard d'euros de fraudes aux certificats carbone, avec 18 procédures judiciaires en cours.
Vendredi dernier, 500 policiers ont investi le siège de la Deutsche Bank à Francfort, la banque centrale allemande. Ils ont perquisitionné les locaux et interpellé 25 personnes dont le co-président en personne, Jürgen Fitschen, et le directeur financier, Stefan Krause, dirigeants principaux du conseil d'administration.
L'objet de cette opération de police d'envergure était encore plus grave que d'habitude. Il s'agit cette fois de fraude aux certificats carbone, ces fameux certificats verts dont tout le monde parle mais dont personne ne connait rien. Ils sentent de plus en plus le soufre ces certificats. Leur fraude est estimée par les polices financières à 5 milliards € rien que pour cette année.
Quelques exemples : un ministre ukrainien a été impliqué dans un détournement de 300 millions de certificats en 2011. En un an, le marché italien des certificats carbone a engendré 500 millions de fraudes avant d'être fermé en catastrophe. En France, la Cour des Comptes a dénoncé en 2012 plus d'1.8 milliard de fraudes aux certificats carbone, avec 18 procédures judiciaires en cours. Ce procédé est la gangrène des énergies renouvelables dont il a complètement pourri la base. Avec l'opération de police à la Deutsche Bank, on atteint un niveau industriel de fraude.
Le principe est simple : vous construisez par exemple un parc d'éoliennes. D'une part votre électricité sera obligatoirement rachetée au prix fort par le contribuable, même si elle est de mauvaise qualité. Mais d'autre part, il existe une ressource souterraine encore plus intéressante : sans rien dire à personne, vous allez pouvoir négocier au niveau mondial des « certificats » qui vont être rachetés par des industriels pollueurs pour pouvoir continuer à polluer. Ces certificats sont autorisés au nom de mystérieux quotas internationaux définis par quelques experts et surtout quelques banquiers dans le secret de ces fameuses conférences internationales sur le réchauffement climatique. De toutes façons, leur montant compte peu, car ils sont très mal contrôlés et servent souvent plusieurs fois.
Pourquoi des financiers se sentent soudain concernés par l'avenir de la planète ? Parce que ce système vaut beaucoup d'argent. On saisit mieux pourquoi des promoteurs battent la campagne pendant plusieurs années pour installer des éoliennes dans des coins reculés des campagnes françaises. Ce n'est ni l'électricité, ni l'avenir de la planète qui les intéresse, mais un pactole souterrain considérable souvent objet d'évasion fiscale de masse, dont personne ne soupçonne l'ampleur, et dont ils se gardent bien de parler. D'une part le contrôle de ces certificats est très léger et illusoire. Chacun sait qu'il existe des certificats émis plusieurs fois pour le même équipement, ce qui est totalement interdit. Les organismes de « contrôle » sont souvent de simples officines privées à la merci des groupes industriels et financiers qui les ont créées.
Ceci veut dire aussi que plus on construit d'éoliennes, par exemple, plus on prolonge la pollution de la planète dans ses aspects les plus graves. Bien au-delà du simple aspect de l'énergie, la rentabilité de vieux équipements polluants est telle que leurs propriétaires sont prêts à subventionner gratuitement des opérations d'énergie renouvelable, tellement elles leur font gagner d'argent.
Bien pire, ce système intéresse désormais les mafias internationales car il permet de blanchir, ou plutôt de « verdir » beaucoup d'argent en peu de temps. Le Service de Renseignement et d'Analyse sur la Criminalité Organisée vient de produire un rapport dans ce sens à l'attention du premier Ministre. Avec un tel système, les « pourboires » locaux sont tentants et faciles, et représentent un montant dérisoire des gains. Ainsi, les opérations d'énergie renouvelable, comme le solaire ou surtout les éoliennes, sont devenues la partie apparente et alibi d'un vaste trafic financier international... subventionné par le contribuable...
 Cordialement
J.L.Butré
Président
Fédération Environnement Durable - 3 rue des Eaux - 75016 tel:06 80 99 38 08
http://environnementdurable.net
contact@environnementdurable.net








































 
   


jeudi 27 décembre 2012

Vent de fronde contre le schéma éolien Languedoc

Un vent de fronde contre le schéma régional du Languedoc Roussillon ; après l'opposition des élus de conseil général de l'Aude, après l'opposition des élus du conseil général de Lozère, les élus du Gard se manifestent. (Aller lire l'article de Midi Libre en lien ci-dessus)
Nous avons toujours dit que ce schéma éolien était un document nul en matière de planification ; il est enfin temps que les élus locaux en Languedoc en prennent conscience.

sachons préserver l'identité de nos espaces agricoles de montagne


En Lozère la délibération du conseil général s'opposant à la construction d'éoliennes dans le département, au motif de l'environnement, sera un argument de plus pour les recours des associations, face à l'agression de nos grands espaces naturels.

samedi 22 décembre 2012

Cadeau de Noel contre l'éolien en Lozère

Dans le blog précédent nous écrivions :  Pour la Lozère le meilleur cadeau de Noël serait un front uni de nos politiques contre l'éolien industriel

Le conseil Général de Lozère en assemblée pour le vote du budget, hier , ce vendredi 21 décembre, s'est aussi exprimé sur le schéma régional du climat, et il a dissocié son avis sur la partie concernant le schéma régional éolien ; il a pris position en s'exprimant contre le développement de l'éolien en Lozère, avis au titre de la concertation sur le SRCAE


 Paysage vers La Fage Saint Julien


Vous trouverez ci-dessous, un extrait du compte rendu de la réunion du Conseil Général, paru sur le site internet de Midi Libre.



LA QUESTION DE L'EOLIEN S'INVITE DANS LES DEBATS

« Si l’on veut protéger notre département, ce n’est peut-être pas une orientation à prendre. » Pierre Morel-à-L’Huissier l’a clairement fait comprendre vendredi, il est opposé au développement de l’éolien industriel dans le département. Alors que de nombreux projets sont en cours en Margeride, le député a expliqué vouloir rejeter le « consensus mou » autour de cette question. « Il y a des secteurs sanctuarisés comme l’Aubrac et le territoire Causses et Cévennes. Mais pourquoi la Margeride ne devrait pas être autant respectée ? Je crois qu’il faut savoir dire que nous ne sommes pas d’accord dans notre département. » Un discours qui a eu de l’écho, puisque de nombreux autres conseillers généraux ont souligné être en accord avec cette position lors des débats. C’est le cas de Jean-Paul Bonhomme ou encore de Pierre Lafont, qui a même lancé : « L’éolien c’est bien, mais pas chez nous ! » Sur la même longueur d’onde, Philippe Rochoux a précisé que le département pouvait miser sur d’autres formes d’énergie renouvelable, comme l’hydroélectricité ou la méthanisation.
En revanche, si Patrice Saint-Léger n’a pas contesté ces arguments, il a déclaré qu’il était important de ne pas trancher d’ores et déjà le débat, estimant que l’apport économique de l’installation d’éoliennes pouvait être utile à de petites communes du département.
Au final, la majorité des élus ont voté contre le développement de l’éolien en Lozère. On l’aura compris, cette question n’a pas fini d’être dans le vent.."


Vous pouvez aussi retrouvez cette information sur le site de Lozère Nouvelle 

Vous avez aussi ci-dessous copie d'un communiqué de l'agence France presse 

 22/12/2012 - 17:05
   Le Conseil général de Lozère se prononce contre l'éolien 

   MENDE (FRA), 22 déc 2012 (AFP) - Le Conseil général de Lozère a rejeté vendredi le volet sur l'éolien du schéma régional Air-Energies présenté par le Conseil régional Languedoc-Roussillon, au terme de longs débats, a-t-on appris samedi.
    Si l'assemblée départementale s'est déclarée favorable au développement des énergies renouvelables dans le département, ainsi qu'aux diverses normes préconisées, notament en matière de rejets de CO2, elle s'est très nettement opposée au projet éolien.
    Après de longs débats, les élus ont décidé de séparer la question de l'éolien des autres préconisations de la région et d'organiser un vote à part.
    La majorité s'est alors prononcée contre l'implantation d'éoliennes dans le département.
    Pour les élus défavorables au projet, le bât blesse quant aux zones protégées. Selon eux, aucune zone ne mérite moins que d'autres d'être protégées. La question se posait en particulier pour la Margeride, zone montagneuse peu peuplée qui aurait été le plus grand espace d'implantations.
    L'avis du Conseil général, tout comme le schéma régional, "n'est toutefois pas opposable légalement, et n'est donc que consultatif" a rappelé le président du Conseil général, Jean-Paul Pourquier (UMP) 

Nous saluons le bon sens de nos élus lozériens, face à un projet de schéma éolien, qui est un non sens en matière d'environnement, pour nos territoires ruraux de montagne.


vendredi 21 décembre 2012

Un cadeau de Noël pour l'éolien

A la fin c'est nous qui allons payer



Les renouvelables vont coûter 2 milliards à EDF en 2013
Le 19 décembre 2012 par Valéry Laramée de Tannenberg
Politique & Société, Entreprises, Politique
Quand l'Etat actionnaire pénalise ses entreprises.


Beau sujet de dissertation pour les membres du comité national de la transition énergétique ou du comité pour la fiscalité écologique. Comment subventionner le déploiement des énergies renouvelables électriques sans alourdir le bilan d’EDF?
La réponse n’est pas attendue pour tout de suite, à en croire un communiqué publié, aujourd’hui 19 décembre, par le ministère de l’écologie.
Le problème est simple. EDF a l’obligation d’acheter, à un prix fixé par le gouvernement, l’électricité des fermes éoliennes et des installations photovoltaïques. Ces rachats sont, en principe, financés par la contribution aux charges de service public de l’électricité (CSPE), taxe sur l’électricité payée par tous les consommateurs.
Problème: depuis des années, les gouvernements refusent d’augmenter le montant de cette taxe au rythme de la mise en service de centrales «renouvelables».
Conséquence: il manque des sous dans la caisse et c’est EDF qui met la main à la poche pour combler le déficit.
Selon une délibération, publiée aujourd’hui par la Commission de régulation de l’énergie, il faudrait porter à 18,8 euros le mégawattheure (contre 10,5€ actuellement) le montant de la CSPE pour assurer la rémunération 2013 des producteurs de courant «vert», et les remboursements à EDF des trop versés de ces dernières années. Ce qui représenterait une hausse de 16% du montant de la facture annuelle moyenne TTC d’un client résidentiel, estime le gendarme des marchés français de l’énergie.
Pas question, répond en substance, le ministère de l’écologie.
Dans leur communiqué, les services de Delphine Batho indiquent qu’ils limitent à 3 €/MWh la hausse de la CSPE pour 2013, soit une hausse de 2,5% du montant annuel des factures (15 € environ).
En conséquence, rappelle le régulateur, EDF devra débourser 2 Md€ supplémentaires pour boucler l’économie du système, l’an prochain. Pour rentrer dans ses frais, le groupe présidé par Henri Proglio devra patienter quelques années: «La résorption de la dette laissée par l’ancien gouvernement sera étalée sur plusieurs années», affirme en effet le ministère de l’écologie.


 Pour la Lozère le meilleur cadeau de Noël serait un front uni de nos politiques contre l'éolien industriel

mercredi 19 décembre 2012

Quels choix de mix-électrique pour demain

Nous vous proposons la lecture d'un article de Julien Deleuze, sur la problématique des stratégies énergétiques en France.
Cet article sur les choix des mix-énergétiques relatifs à la production d'électricité, pose la question des difficultés de financement, et des incidences sur les coûts de l'électricité qui peuvent être très pénalisantes pour l'activité économique, mais aussi pour les familles à faible revenus.

Notre Lozère est belle -- Le lac Saint Andéol (site inscrit)

Quand nous posons la question de l'éolien en Lozère, nous sommes conscients de ces problématiques ; nous avons dans notre blog, posé essentiellement la question des paysages : Faut-il face à des enjeux qui ne sont pas clairs du tout, porter atteinte à une identité de nos espaces lozériens ? 

Nous avons le droit de nous exprimer à ce sujet avant que des choix irréversibles soient pris, sans réflexion préalable sur la dynamique de nos territoires ruraux. 

Mais nous sommes conscients des autres aspects de la filière de l'éolien industriel : des résultats non probants dans la lutte contre l'effet de serre ; des résultats non probants dans la dynamique soit-disant exceptionnelle de création d'emplois ; et d'autres encore.

Nous avons passé l'âge de croire au père noël, et nous avons des doutes de l'intérêt de cette filière dans nos territoires ruraux de Lozère

dimanche 16 décembre 2012

L'énergie durable : pas que du vent

En navigant sur le net, nous avons trouver un ouvrage intéressant, écrit par un scientifique anglais, sur la problématique de l'énergie aujourd'hui.
Cet ouvrage " L'énergie durable : pas que du vent" est disponible en français (voir en en lien). Bonne lecture

Magnifique l'Aubrac

E n Lozère l'hiver, près d'un bon poelle à bois, c'est une bonne lecture ; plus pertinente et utile que les nombreux propos ou discours sur la nécessité de développer pour l'instant l'éolien industriel dans notre territoire rural de montagne.

jeudi 13 décembre 2012

Avis sur schéma éolien Languedoc Roussillon

Le 14 décembre est la date butoir pour la concertation du schéma régional éolien ; vous trouverez toutes les informations sur la ligne éolien en Lozère et schéma régional éolien au sommaire de ce blog.

Nous vous mettons en lien un avis transmis au préfet de la Lozère par Mr Debord ancien maire de Fournels ; il serait bien entendu très souhaitable que le député maire actuel s'exprime d'une façon aussi claire sur le non sens de l'éolien en Lozère, et plus particulièrement sur l'Aubrac.


La plus grande partie de l'Aubrac, et le secteur le plus identitaire sont situés en Lozère  ; or  alors qu'en Aveyron et dans le Cantal, l'Aubrac est exclu de l'éolien, et bien en Lozère dans le schéma, l'Aubrac est situé en zone favorable à l'éolien.

Nous avons à ce jour peu entendu nos élus s'exprimer sur cette incohérence , le monde agricole se tait, le monde du tourisme se tait, le monde de la vie économique se tait, la presse se tait. A croire que les lozériens croient encore au Père Noël, et aux retombées féériques de l'éolien industriel, à moins qu'ils pensent que la Lozère et l'Aubrac ont une mission de sauver la planète de l'inexorable crise écologique mondiale. Déja Midi Libre leur fait croire que l'éolien va tracter l'emploi local ; c'est vrai qu'il faut être vraiment naïf pour croire le paragraphe risible sur l'emploi, développé dans le dossier du schéma régional éolien.

Heureusement le préfet a eu le courage avec son service de la DDT de proposer les résultats d'une étude qui semble apparemment exclure l'Aubrac de l'éolien industriel. Mais encore ce n'est pas sûr, cette étude n'est pas réglementaire, et tout est possible.

Bien entendu la presse n'a jamais posé les bonnes questions :
 --- Jusqu'où ira le préfet et son administration pour prendre en compte cette étude dans la gestion de l'éolien en Lozère ?
--- Faut-il laisser massacrer le massif encore identitaire de la Margeride ? 
--- et bien d'autres questions encore........

lundi 10 décembre 2012

Sur l'étude paysage et éolien en Lozère

Nous vous avions parlé de l'étude sur les sensibilités paysagères et naturalistes au regard de l'éolien industriel en Lozère. Cette étude réalisée sous maîtrise d'ouvrage DDT, en 2011-2012,  a été actée en juillet 2012, et a été présentée aux élus, à la Commission Départementale des Sites,et ensuite aux associations du Collectif Patrimoine Lozérien en début novembre 2012.
Les associations s'étaient engagées à formuler un avis écrit sur cette étude, à partir des 3 documents mis à leur disposition.  Cet avis a été transmis à la DDT et au préfet de Lozère.
Nous vous mettons en ligne cet avis, il va de soit que nous sommes critiques sur une étude qui propose des zones favorables sur la ligne de crête du massif de la Margeride.

Nous vous mettons aussi en ligne la cartographie des compatibilités paysagères proposées par cette étude

Une petite partie du panorama exceptionnel vue depuis Fortunio

dimanche 9 décembre 2012

Les effets pervers de l'éolien en milieu montagnard

Il y a déja quelques jours, nous avions lu sur la toile cet extrait de la presse locale de Millau, un article très clair sur les effets pervers d'un développement inconsidéré de l'éolien industriel en territoire rural. Les habitants du Levezou qui se battent pour préserver leur cadre de vie économique, sont les mêmes que ceux qui en Lozère, se battent contre un schéma régional éolien, qui s'il était appliqué serait catastrophique pour notre beau pays;
Malheureusement les élus qui en Lozère veulent de l'éolien, sont aussi les mêmes que ceux du plateau du  Levezou qui ont vendu leur pays pour des intérêts qui n'ont rien à voir avec le développement local.
En lozère il n'est pas sûr que la presse locale publierait ce type d'article ; trop perturbateur dans le discours dominant, il ne faut pas trop informer le bon peuple!!!!!

 Notre Lozère est encore belle

Les lignes bougent, depuis quelques mois on commence en Lozère à parler de façon plus critique de l'éolien industriel . Il est temps de se poser les bonnes questions, avant que notre magnifique pays de montagne soit défiguré, par des machines hors d'échelle dans nos paysages, et sans réel intérêt énergétique.