A l'heure où certains projets éoliens sont prévus en zone forestière, pour faire fructifier le pognon des promoteurs au mépris de l'intérêt commun, il est bon de lire l'article sur la forêt en lien sur le site de l'association pour la protection des bassins du Bès et de la Truyère.
En Lozère on peut mieux faire ; sur la Terre de Peyre des habitants se sont regroupés au sein d'une association libre de valorisation de la forêt ; une initiative qui a été intelligemment soutenu par des élus et les ingénieurs et techniciens du CRPF. Ces dernières années des actions de plantations ont été entreprises sur plusieurs parcelles des adhérents.
Comme quoi dans notre petit pays il est possible d'agir localement, tout en pensant globalement. Mais pour ce, il faut que notre démocratie locale fonctionne, que les habitants s'expriment et ne se laissent pas berner par des discours dominants qui le plus souvent nous sont imposés, comme celui sur l'éolien industriel.
( Sur les hauteurs près du hameau de Grandviala, au loin juste à droite du grand pin étaient prévues 7 éoliennes de 150m de haut dans un massif forestier à Saint Sauveur de Peyre, projet pour l'instant abandonné suite à nos actions)
Nos espaces de la haute Lozère, c'est cette mosaïque de paturages, de prés de fauche, de forêts, de chemins, de vues fermées et de panoramas lointains.
Il y fait bon vivre, et les espaces forestiers en sont une composante essentielle.
mercredi 30 mai 2018
mardi 29 mai 2018
Le PNR Aubrac officialisé par décret
Il a fallu du temps, mais avec la persévérance l'intelligence l'emporte sur la frilosité de certains face à la mise en place d'un PNR sur l'Aubrac.
Ce PNR Aubrac et sa charte viennent d'être approuvés par décret du premier ministre du 23 mai et publié au journal officiel le 24 mai.
Il nous reste maintenant à être vigilants pour que l'esprit de la charte soit respecté par les élus et par les services de l'Etat.
Et en ce qui concerne l'éolien industriel, il nous faudra être vigilants ; en Lozère nous avons 2 mauvais projets éoliens en cours d'instruction par les services de l'Etat dans le périmètre du PNR: celui de Bourgs sur Colagne en balcon sur le site UNESCO, et celui de Peyre en Aubrac sur l'itinéraire du chemin de St Jacques inscrit à l'UNESCO et en balcon sur la Terre de Peyre.
A ce sujet concernant le projet de Bourg sur Colagne nous avons adressé un courrier à Mme la présidente du département et présidente de l'Entente Interdépartementale Causses Cévennes.
Nous vous faisons copie de quelques paragraphes de ce courrier :
Une telle position serait pour nous un signe de la cohérence de la politique que vous menez sur le département.
Pour illustrer notre interprétation du respect des orientations d'une charte PNR, comme celle sur l'incompatibilité de l'éolien industriel, nous vous invitons à lire les commentaires d'un cabinet d'avocat concernant celles relatives aux ICPE, en sachant qu'un projet éolien est soumis à la procédure ICPE, et que le commentaire en lien s'appuie sur une jurisprudence du Conseil d'Etat.
Mais il nous faudra rappeler ces principes aux services de l'Etat, qui parfois ont leur propre interprétation des textes, et en Lozère petit pays loin de tout, la bonne information n'est pas toujours bien partagé. Lors d'une précédente réunion en préfecture le Secrétaire Général nous avait répondu que la charte d'un PNR n'avait pas de caractère réglementaire ; certes nous le savons mais c'est jouer sur les mots. La prochaine fois nous répondrons que l'intelligence des décisions n'a pas non plus de caractère réglementaire.
Quand on voit ce panorama du lieu d'implantation du projet éolien de Bourg sur Colagne, en balcon sur le site UNESCO et dans le PNR Aubrac, et qu'un projet éolien ait pu voir le jour dans un tel site, l'intelligence n'est pas ce qui est le plus partagé en Lozère.
Ce PNR Aubrac et sa charte viennent d'être approuvés par décret du premier ministre du 23 mai et publié au journal officiel le 24 mai.
Il nous reste maintenant à être vigilants pour que l'esprit de la charte soit respecté par les élus et par les services de l'Etat.
Et en ce qui concerne l'éolien industriel, il nous faudra être vigilants ; en Lozère nous avons 2 mauvais projets éoliens en cours d'instruction par les services de l'Etat dans le périmètre du PNR: celui de Bourgs sur Colagne en balcon sur le site UNESCO, et celui de Peyre en Aubrac sur l'itinéraire du chemin de St Jacques inscrit à l'UNESCO et en balcon sur la Terre de Peyre.
A ce sujet concernant le projet de Bourg sur Colagne nous avons adressé un courrier à Mme la présidente du département et présidente de l'Entente Interdépartementale Causses Cévennes.
Nous vous faisons copie de quelques paragraphes de ce courrier :
Nous vous rappelons aussi les points suivants :
- -- Au
vu de la carte du périmètre UNESCO disponible sur le site internet de
l’Entente Interdépartementale, la zone tampon s’étend partiellement sur
l’ancienne commune du Monastier, et donc sur la commune nouvelle de
Bourgs sur Colagne. Elle vient d’ailleurs en limite immédiate du site
d’implantation du projet éolien de Bourgs sur Colagne.
- --
Les conclusions du rapport des experts de l’UNESCO sur le dossier
Causses Cévennes, précisaient que les préoccupations de gestion du site
pouvaient aller au-delà du périmètre en fonction des enjeux de paysage
et de patrimoine. Or les enjeux de paysage en fonction de la nature, de
la hauteur du projet éolien sont évidents ; les enjeux culturels aussi,
par exemple le projet est implanté sur une draille historique reconnue
comme un identifiant du site UNESCO, identifiant qui est encore « vivant» avec les chemins Urbain V et de Saint Guilhem, dont le chemin Urbain V passant aux pieds des futures éoliennes.
- -- Un
document de gestion n’a pas de caractère réglementaire, de même qu’une
charte de PNR. Néanmoins ces documents sont une reconnaissance
professionnelle des enjeux de protection et de valorisation d’un
territoire. Ces documents apportent donc une argumentation non
contestable, pour justifier un refus réglementaire s’appuyant sur la loi
montagne, et le code de l’urbanisme.
- --La
loi qui a mis en place les PNR, précise que les collectivités
harmonisent leurs décisions avec les orientations des chartes de PNR. Ce
qui doit être le cas pour le département qui a acté les orientations de
la charte et l’adhésion au PNR Aubrac.
--
Même si la décision concernant un projet éolien est de compétence
préfet, le département a encore un droit de regard sur la gestion
raisonnée de son territoire, et sur la préservation de ses espaces
naturels et de ses paysages emblématiques.
Aussi
nous espérons que le département au delà des simples informations qui
nous ont été communiquées par courrier, saura se prononcer
défavorablement sur ce mauvais projet éolien, aux différents stades des
échanges officieux et officiels de son instruction administrative.
Pour illustrer notre interprétation du respect des orientations d'une charte PNR, comme celle sur l'incompatibilité de l'éolien industriel, nous vous invitons à lire les commentaires d'un cabinet d'avocat concernant celles relatives aux ICPE, en sachant qu'un projet éolien est soumis à la procédure ICPE, et que le commentaire en lien s'appuie sur une jurisprudence du Conseil d'Etat.
Mais il nous faudra rappeler ces principes aux services de l'Etat, qui parfois ont leur propre interprétation des textes, et en Lozère petit pays loin de tout, la bonne information n'est pas toujours bien partagé. Lors d'une précédente réunion en préfecture le Secrétaire Général nous avait répondu que la charte d'un PNR n'avait pas de caractère réglementaire ; certes nous le savons mais c'est jouer sur les mots. La prochaine fois nous répondrons que l'intelligence des décisions n'a pas non plus de caractère réglementaire.
Quand on voit ce panorama du lieu d'implantation du projet éolien de Bourg sur Colagne, en balcon sur le site UNESCO et dans le PNR Aubrac, et qu'un projet éolien ait pu voir le jour dans un tel site, l'intelligence n'est pas ce qui est le plus partagé en Lozère.
jeudi 17 mai 2018
Non aux discours tendancieux en Lozère
Suite aux interventions des associations dont les Robins des
Bois de la Margeride, les travaux du chantier éolien sur le massif des Taillades
sont interrompus. Ces associations avaient soulevé auprès de la préfecture les nombreuses
irrégularités de ce chantier.
La préfecture ayant demandé à l'entreprise de respecter les prescriptions
de l’arrêté d’autorisation, en particulier sur les travaux concernant l’accès
au chantier, il semble que la société devant le risque d’un arrêté préfectoral
d’interruption du chantier a décidé de suspendre celui-ci.
Dans le domaine de l’éolien face aux enjeux de pognon, il est
clair que pour les promoteurs et les pro-éoliens tout est permis. Nous le
constations régulièrement depuis de nombreuses d’années : un discours dominant
avec de fausses vérités, un passage en force au mépris des enjeux de patrimoine
de biodiversité, de paysage, etc…..
Le cas du projet des Taillades en est un exemple (projet en
contradiction avec l’étude DDT, aménagement irrégulier de la voie d’accès,
tracé incertain du réseau de branchement électrique à négocier, atteinte à l'identité de l'abbaye de Notre dame des Neiges…).
Il en a été de même pour le projet du Born ( projet en contradiction
avec l’étude DDT, intervenants à l’enquête traités par le commissaire enquêteur
d’admirateurs passifs du paysage, éoliennes en balcon sur le lac de Charpal, dossier en balcon sur le site UNESCO,…). Sur ce
dossier le tribunal administratif de Nîmes a été très clair dans son arrêt
annulant l’autorisation ICPE.
……………
Considérant qu’il résulte de l’instruction
que le projet en litige porte sur la construction d’un parc éolien composé de
huit éoliennes d’une hauteur maximale de 150 mètres, situé sur les territoires
des communes de Le Born et Pelouse, à une altitude d’environ 1 400 mètres
sur le plateau du Palais du Roi ; que ce site est compris dans la zone spéciale
de conservation Natura 2000 « plateau de Charpal », dans la zone naturelle d’intérêt
écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Montagne et la
Margeride et plateau du Roi » et situé à proximité immédiate de la ZNIEFF de
type I « lac de Charpal » ; que l’étude des sensibilités paysagères et
naturaliste au regard de l’éolien industriel en Lozère, réalisée à la demande
des services de l’Etat en avril 2011, a considéré que l’installation d’éoliennes
visibles
du lac de Charpal, situé au
bord du plateau du Palais du Roi, était inadaptée compte tenu de la configuration
unique en Lozère de ce type de paysage, dans la mesure où une telle
implantation pouvait faire courir le risque d’un déséquilibre dans la
composition de ce paysage en donnant plus d’épaisseur à la ligne d’horizon ;
que si l’autorité environnementale, dans son avis émis le 11 juillet 2014, a
estimé que l’étude paysagère permettait valablement d’appréhender l’impact des
éoliennes dans le paysage et démontrait l’intérêt et la cohérence des partis
pris dans l’insertion du projet, en mentionnant que le parc éolien affirmait «
sa présence au sein d’un vaste
paysage naturel, comme un
élément à caractère industriel à l’ordonnancement régulier voire harmonieux sur
les points de vue présentés dans l’étude », toutefois et s’agissant particulièrement
du point de vue depuis le lac de Charpal, cette appréciation est relativisée
par la même autorité environnementale qui a également estimé que le parc éolien
« apparaît cependant très prégnant dans le paysage » et que son « cumul avec
les autres projets éoliens ou parcs existants renforce l’impact de l’activité
de l’éolien dans le grand paysage » ; que cette même autorité qualifie aussi le
lac de Charpal et le Truc de Fortunio comme « des éléments emblématiques du
paysage », et les panoramas depuis le barrage du lac et le belvédère du Truc
de Fortunio comme «
remarquables » ; que la circonstance que le plateau du Palais du Roi a été fortement
modifié par l’homme du fait de la création du lac de Charpal en 1917 et du développement
de l’exploitation forestière dans les années soixante à soixante-dix n’est pas,
en elle-même, de nature à ôter à ce site son caractère remarquable, qui a d’ailleurs
conduit à son classement en site Natura 2000 ; qu’en outre, contrairement à ce
qui est affirmé par la société Vents d’Oc Centrale d’Energie Renouvelable 17,
les photomontages réalisés dans le cadre de l’étude d’impact mettent en
évidence, ainsi que l’a d’ailleurs souligné l’autorité environnementale, que
les huit éoliennes sont clairement visibles depuis le lac, les perceptions étant
effectives sur les pales et le haut des mâts qui dépassent de la dense forêt de
résineux, la grande hauteur des éoliennes ayant en outre tendance à les
rapprocher visuellement du bord du lac, pouvant ainsi donner l’impression qu’elles
apparaissent en surplomb ; qu’il résulte de l’ensemble de ces éléments que l’implantation
d’un parc éolien tel que projeté est de nature à avoir une incidence notable
sur les paysages ; que, par suite, en accordant l’autorisation sollicitée, le
préfet de la Lozère a méconnu les dispositions précitées de l’article L. 181-3
du code de l’environnement
………
l’arrêté du 25 août 2015 du
préfet de la Lozère autorisant la société Vents d’Oc Centrale d’Energie
Renouvelable 17 à exploiter un parc éolien sur le territoire des communes de Le
Born et Pelouse doit être annulé.
Un
jugement très clair, et bien non il est contesté par le maire de Pelouse.
Nous
avons été intéressé ce mercredi 16 mai, par une conférence du CER Benjamen Bardy à Mende sur le thème « Le plateau du Roi et Charpal ».
Nous avions déjà assisté il y a 2 ans à une conférence intéressante du CER sur "la route royale de Mende" et nous pensions avoir une conférence
aussi intéressante sur l’histoire du plateau du Roi, par un spécialiste, puisque que l'intervenant Jules Maurin maire de Pelouse, est un historien, ancien professeur d’histoire à la faculté Paul Valéry de
Montpellier.
En
fait ce dernier au travers d’un historique certes sympathique, mais très
incomplet, a plutôt privilégié un plaidoyer pour le projet éolien de le Born –
Pelouse. Ce qui n'était pas prévu dans l'intitulé de la conférence.
Le message à travers l'intervention est le suivant : suite à l’arrêt de la transhumance sur les
grands espaces du Plateau du Roi, il a été privilégié le reboisement après les années 60. Aujourd’hui la petite
commune de Pelouse doit faire face à des frais d’entretien des chemins
forestiers, aux impôts fonciers soit disant très lourds ( sans dire que c’est
la commune qui fixe les taux), à la faible valeur du bois épicéa ( du bois à
palette alors que partout en France c’est du bois d’œuvre), il lui faut donc trouver
des ressources, d’où l’intérêt du projet éolien, qui ne gêne personne, et qui n’est
pas dans un espace naturel, puisque que le lac de Charpal résulte d’un site
industriel militaire, et que les espaces boisés sont des espaces artificiels,
et que le projet a déjà coûté 10.000.000€ en terme d'études.
Des
propos pas très émérite pour un professeur d’université : on peut certes
contester un arrêt de justice mais il faut apporter des éléments qui dépassent
les propos d’un comptoir de bistrot ; quand on a la capacité d’intellectualiser
des études historiques on doit pouvoir élever le discours sur nos espaces
naturels et paysagers, on doit aussi pouvoir avoir une vision économique du
territoire, or parler d’une étude sur ce projet de 10.000.000€, alors que cette
étude n’a rien coûté à la commune, et que les études de ce type de dossier sont
de l’ordre de 100.000€, il nous faut vraiment relativiser le discours d’un
maire pro-éolien.
Il est dommage pour la notoriété du CER, d'avoir eu un intervenant qui au lieu d'une conférence sur un sujet culturel et historique, a privilégié de faire passer un discours partisan et peu argumenté sur un mauvais projet éolien annulé par une juridiction administrative.
Ces
quelques exemples pour rappeler que nos espaces extraordinaires de Lozère ne
pèsent pas lourd, face à un discours dominant sur l’éolien industriel. Et que donc
il nous faut continuer à être vigilants pour faire respecter notre patrimoine commun et
notre cadre de vie.
Sur ce dossier du Born-Pelouse, c'est ce que nous avons fait au travers de nos écrits et de nos interventions. Le lac de Charpal est un vrai site naturel et paysager.
Et le plateau du roi, et les hauteurs du Born sont un lieu magique en site Natura 2000, et c'est dans ce lieu en belvédère sur le causse de Mende, le site UNESCO et au loin le Mont Lozère, que notre professeur veut justifier l'implantation d'éoliennes de 150m de haut.
En Lozère on dit souvent que dans le cochon tout est bon, et bien là pour le pognon tout est bon ; ce n'est pas acceptable
lundi 14 mai 2018
En Lozère informons nous sur l'éolien industriel
A l'heure d'un discours sur une région à énergie positive, dont en fait un des objectifs en matière d'énergie est de favoriser l'éolien industriel dans nos espaces ruraux, et bien en Lozère les promoteurs de l'éolien continuent leur pression.
Sur le massif des Taillades, malgré de nombreuses irrégularités soulevées par les associations, les travaux continuent ; sur la Terre de Peyre malgré la délibération de la commune nouvelle contre le projet Sameole, l'instruction du dossier est toujours en cours ; sur le secteur du Monastier sur un site emblématique à la jointure de l'inscription UNESCO et du PNR Aubrac les élus soutiennent encore ce très mauvais projet ; et de nombreux autres projets sont en préparation.
Et bien entendu on continue à nous faire croire que la gestion en fin de vie des éoliennes (de l'ordre de 20 ans) est anticipée par notre cadre réglementaire. Tout çà c'est du pipeau. Simplement pour comprendre la problématique de la gestion des déchets des énormes pales en fibre de verre nous vous invitons à lire le texte de l'EPAW .
En Lozère même avec un développement soit disant raisonné comme veulent nous le faire croire certains élus, certains fonctionnaires, et même nos commissaires enquêteurs, le risque est grand que dans une génération, nous ayons une multitude de très grands squelettes de métal et de fibre de verre qui satureront nos grands paysages encore aujourd'hui intacts.
Sur le massif des Taillades, malgré de nombreuses irrégularités soulevées par les associations, les travaux continuent ; sur la Terre de Peyre malgré la délibération de la commune nouvelle contre le projet Sameole, l'instruction du dossier est toujours en cours ; sur le secteur du Monastier sur un site emblématique à la jointure de l'inscription UNESCO et du PNR Aubrac les élus soutiennent encore ce très mauvais projet ; et de nombreux autres projets sont en préparation.
Et bien entendu on continue à nous faire croire que la gestion en fin de vie des éoliennes (de l'ordre de 20 ans) est anticipée par notre cadre réglementaire. Tout çà c'est du pipeau. Simplement pour comprendre la problématique de la gestion des déchets des énormes pales en fibre de verre nous vous invitons à lire le texte de l'EPAW .
En Lozère même avec un développement soit disant raisonné comme veulent nous le faire croire certains élus, certains fonctionnaires, et même nos commissaires enquêteurs, le risque est grand que dans une génération, nous ayons une multitude de très grands squelettes de métal et de fibre de verre qui satureront nos grands paysages encore aujourd'hui intacts.
Entre UNESCO et PNR Aubrac
N'acceptons pas une future friche industrielle dans cet exceptionnel paysage de Lozère
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